Abdelhamid Abou Zeid, chef des terroristes d'AQMI serait mort

L'information n'est pas encore officiellement confirmée, elle est donc à prendre avec les réserves d'usage. L'homme qui avait établi un empire de terreur narco-islamiste à Gao serait mort, avec au moins 40 de ses voleurs-combattants, comme ceux d'Ali Baba. Il aura été victime de sa cruauté sans limite et de son entêtement à "arabiser islamiquement" , entendez  selon les règles d'une Charia obscurantiste des populations exogènes à la culture arabe.

Le mépris historique et permanent de certains de nos "frères" arabes pour les cultures africaines demeure. Chez eux, ,l'esprit de l'esclavage "autorisé par la religion" n'est toujours pas mort.

"Des frappes aériennes ont eu lieu dans la zone d'Etagho, à quelques dizaine de kilomètres d'Aguelhoc (au nord de Kidal), combinées avec une offensive terrestre de troupes françaises, tchadiennes et de quelques auxiliaires locaux. Certains de ces auxiliaires ont été employés pour poser des dispositifs de guidage des tirs. Quarante-trois hommes de la katiba d'Abou Zeid seraient morts avec lui, ce qui témoigne de la puissance des frappes" (1)

L'homme, un algértien du nom de Mohamed Ghdiri s'était illustré par sa violence et son radicalismes jusqu'auboutistes spécialisé dans les enlèvements, d'abord dans son pays, l'algérie, n'hésitant pas à exécuter des otages comme Edwin Dyer , britannique, et Michel Germaneau, français.

Dans le Sahel, il est l'auteur de l'enlèvement de quatre français à Arlit, en 2010, au Niger.

A Gao, il était l'ordonnateur de l'amputation ou de la lapidation de personne,s toutes 'Noires'. Il était aussi connu à Gao pour venir "offrir islamiquement de l'argent de" pour réparer les "erreurs"de ses combattants aux parents des victimes de ses exactions.

C'est donc un fanatique islamiste algérien, les arabes les plus racistes envers les noirs comme il est connu, qui rejoint l'enfer plus tôt qu'il croyait.

Bon débarras, et aux suivants.

Thierno

(1)  LeMonde.fr