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Le procès de John Galliano pour injures à caractère racial et antisémite a eu lieu hier et le créateur a déclaré ne pas se souvenir des faits dont il est accusé. Il a même reconnu avoir « une triple dépendance » à l'alcool, au valium et aux somnifères, selon « France Soir ».
« Je ne me souviens pas très bien de ce qui s'est passé », a déclaré John Galliano. Agé de cinquante ans, le styliste britannique a affirmé qu'il avait « toujours condamné le racisme et l'antisémitisme qui n'ont aucune place dans notre société ». Quand le tribunal lui a fait visionner la vidéo paru sur le site du Sun et où on le voit déclarer qu'il "aime Hitler", le couturier explique : "Je vois quelqu'un qui a besoin d'aide. C'est la coquille vide de John Galliano. Je ne peux pas répondre pour cet homme que je ne connais pas".
Il a exprimé ses regrets que son comportement « ait provoqué autant de tristesse », expliquant avoir été très affecté par la mort de son père en 2005 puis par celle de son « ami très cher » en 2007, il a confié s'être mis à boire pour noyer son chagrin et sa surcharge de travail.
Le jugement sera rendu le 8 septembre prochain et le procureur de la République "a requis au moins 5 000 euros d'amende pour chacun des deux dossiers".
Christine Lopez
Source: le Quotidien du Peuple en ligne
Commentaire
Tous pareils. Les Angbansanlés vous jureront leurs grands Dieux et autres Donzos féticheurs qu'ils ne sont ni racistes ni ethnocentristes. De vrais agneaux ambulants .Si vous les croyez, Sékou a été un dirigeant "prestigieux" malgré ses complots permanents, pendaisons publiques, etc.
Les peulhs , eux, jouent tout simplement la "victimisation". Air archiconnu.
Plaideront t-ils un jour "une triple dépendance » au dolo, aux fétiches et aux cordes à pendre pour expliquer leurs crimes?
TAD