Cette information est à prendre au conditionnel, avec les précautions d'usage impératives en pareil cas.L'enquête n'en est qu'à son début et nous n'avons pas encore d'élément déterminant prouvé et reconnu officiellement par la justice américaine. Il faut éviter de "danser plus vite que la musique",trouver dès maintenant un ou une coupable ou innocent quel que soit notre opinion personnelle dans cette affaire.Les fausses affirmations fleurissent déjà sur le net. sachons garder la tête froide et éviter de se "déculotter" comme notre RPGiste Angbansanlé de New York.
"[..]Alors que l'entourage de Dominique Strauss-Kahn se démène pour trouver rapidement un autre logement à New York à l'ancien directeur général du FMI accusé de crimes sexuels, l'enquête se poursuit. Lundi soir, on apprenait ainsi par plusieurs médias américains dont le New York Times que l'ADN de DSK aurait été retrouvé sur les vêtements de la femme de chambre.
L’information n’a pas été confirmée par la police. Mais l’ADN de Dominique Strauss-Kahn aurait été retrouvé sur les vêtements de la femme de chambre qui l’accuse de crimes sexuels, ont affirmé lundi deux chaînes américaines, NBC et ABC et le New York Times. Du sperme de DSK aurait notamment été retrouvé sur le col du chemisier de la victime présumée, selon le site internet de France 2.
La preuve de violences plus difficile à apporter
Des prélèvements ADN avaient été effectués sur l’ancien patron du FMI, sur sa victime présumée, et dans la suite de l’hôtel Sofitel où les faits se seraient déroulés. Ces analyses doivent confirmer ou non s’il y a eu acte sexuel, mais la preuve de violences est plus difficile à apporter, soulignent les experts. Par ailleurs, dans un courriel adressé à ses anciens collègues du FMI et signé "Dominique", DSK précise qu’il a démissionné pour épargner au Fonds monétaire international le "cauchemar" qu’il est en train de vivre. "Je suis convaincu que la vérité sera révélée et que je serai innocenté", ajoute-t-il.[..]
Source: Le Telegramme.com
Commentaire
Pas de confirmation de source policière pour le moment
La présence d'Adn pourrait justifier d'un contact physique
Mais n'est pas la preuve d'une violence physique
Il ne faudrait donc pas tirer de conclusion hâtive à ce stade de l'enquête.
TAD