Les islamistes fuient vers Kidal

Frappés sévèrement par les raids de l'aviation française et la nouvelle réorganisation de l'armée patriotique malienne, les divers groupes d'Islamistes ont déposé leurs couteaux d'amputation et leurs fouets de lapidation pour fuir à toute vitesse vers l'extrême nord malien, en direction de Kidal à 1500 km de Bamako. Depuis hier Lundi, ils ont  complètement disparu  chassés de l'intérieur et des environs de Konna, Douentza et Sévaré

Ce sont des gens qui savent fuir quand ça chauffe, malgré leurs barbes et leurs pantacourts dits "islamistes". Les terroristes trafiquants de drogues et d'armes restent ce qu'ils sont: des bandits.

Rien à voir avec une quelconque religion qui leur sert simplement  de couverture.

Eux  qui refusaient obstinément d'entendre raison ont plié devant la seule chose qu'ils craignent: une force supérieure à la leur.

Ils ont mis leurs exigences de République islamique en poche pour prendre la tengente devant les blindés français.

Konna, Douentza et sévaré sont libres de toute présence des hordes islamistes. Les recherches d'islamistes cachés au sein de la population se poursuivent.

Konna est définitivement libéré et les habitants ont acceuillis en héros les libérateurs français et maliens, des jeunes qui n'hésitent pas à mettre leurs vies en péril pour sauver leurs frères. Une vraie et active expression de solidarité et de fraternité.

L'aviation françaises continue ses frappes. Des objectifs Jihadistes ont été touchés à Tombouctou, plus au Nord.

Kidal avait été la première ville prise dès le début par les islamistes. Ils avaient balayé sans pitié leurs allié de l'époque, le fameux "Front de Libération denl'Azawad", les mêmes qui, aujourd'hui, tentent de revenir sur la scène en soutenant...les Forces Franco-maliennes!

L'inquiétant, c'est qu'on signale un peu partout des actes de représailles aveugles contre tous les "peaux-rouges", expression qui désigne à la fois les Touaregs et  les Arabes.

La guerre de libération n'a pas besoin de règlements de comptes.

Thierno